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Vidéo : Les temps forts de la 8ème journée de Top 14

Cette 8ème journée du Top 14 a donné lieu à quelques gestes de grandes classes comme la passe au pied de Sergio Parisse lors du match entre Toulon et Brive.

Vendredi soir, Toulon et Brive ouvraient le bal de cette 8ème journée à Mayol. Malgré un gros combat imposés par les avants brivistes, les toulonnais ont réussi à s’imposer avec le bonus offensif grâce, notamment,  à Sergio Parisse. Le troisième ligne centre a réalisé un grand match avec en point d’orgue une passe au pied pour son ailier Dridi. A37 ans, l’international italien est toujours aussi clairvoyant.

 

Question passe au pied, on a été servi ce week-end. Très en forme en première période contre Clermont, Jules Plisson, l’ouvreur du Stade Rochelais, a lui aussi adressé une passe millimétrée à l’un de ses coéquipiers pour le seul essai de son équipe.

 

A Bordeaux, le maître à jouer se nomme Matthieu Jalibert. Plus titulaire depuis plusieurs semaines, l’ouvreur bordelais avait des fourmis dans les jambes. Avec le staff, ils avaient ciblé quelques points faibles dans la défense bayonnaise. Le girondin ne s’est pas fait prier pour attaquer à plusieurs reprises dans ces zones. Auteur du premier essai de son équipe, il fut l’un des grands artisans du succès bonifié de l’UBB.

 

Le match nul obtenu sur la pelouse du Stade Toulousain récompense Castres après plusieurs semaines de progression. Depuis quelques temps, le CO a retrouvé tout son caractère. Dominateurs en seconde mi-temps, les tarnais ont étouffé les champions de France 2019 pour ramener un bon résultat d’Ernest Wallon.

 

Mais aussi…

Encore une fois, le Racing 92 s’en est sorti sur le fil. Malmenés par la Section Paloise, les hommes de Laurent Travers avait bien commencé la partie avec un cadrage débordement d’école d’Olivier Klemenczak sur Antoine Hastoy. Ensuite, les palois ont fait la loi jusqu’aux derniers instants. Grâce à un essai de Sanconnie en toute fin de partie, le Racing 92 renoue avec la victoire.

 

Si Agen s’est incliné pour la huitième fois en autant de rencontres, on retiendra un état d’esprit retrouvé. En autogestion après les licenciements de Christophe Laussucq et de Rémy Vaquin, les agenais se sont resserrés pour imposer un gros défi à des lyonnais bousculés en mêlée et en touche.